Un concert parisien… et une interview mémorable
Février 2011, All Time Low joue au Trianon à Paris. Rien que d’y repenser, j’ai le sourire aux lèvres. C’est un groupe que j’adore, que j’ai vu plusieurs fois sur scène, et à chaque fois c’est le même feu d’artifice : de l’énergie, de la complicité avec le public, et un vrai sens du fun. Le genre de groupe pop punk américain qui ne se prend pas au sérieux, et c’est justement ça qui fait toute la magie.
Et puis soyons honnêtes… à Paris, c’est devenu un rituel : les filles jettent leur soutien-gorge sur Jack Barakat, le guitariste, à chaque concert. Le genre de scène improbable qui résume parfaitement l’ambiance de leurs shows.
Février 2011, All Time Low joue au Trianon à Paris. Rien que d’y repenser, j’ai le sourire aux lèvres. C’est un groupe que j’adore, que j’ai vu plusieurs fois sur scène, et à chaque fois c’est le même feu d’artifice : de l’énergie, de la complicité avec le public, et un vrai sens du fun. Le genre de groupe pop punk américain qui ne se prend pas au sérieux, et c’est justement ça qui fait toute la magie.
Et puis soyons honnêtes… à Paris, c’est devenu un rituel : les filles jettent leur soutien-gorge sur Jack Barakat, le guitariste, à chaque concert. Le genre de scène improbable qui résume parfaitement l’ambiance de leurs shows.
Dans les loges avec Alex Gaskarth et Jack Barakat
Ce jour-là, on a la chance de pouvoir interviewer Alex Gaskarth, le chanteur, et Jack Barakat, le guitariste. Une vraie belle surprise d’avoir deux membres du groupe — et pas des moindres !
On est super contentes. Comme toujours, on a prévu nos questions sérieuses, mais aussi un jeu complètement barré : Se barbouiller le visage avec de la peinture bleue.
Et là, évidemment, Jack est à fond. Il adore. Il joue le jeu, rigole, s’emballe… Et à la fin de l’interview ? Il nous vole littéralement le pot de peinture et s’en met partout sur le visage ! Fou rire général, complicité immédiate. Un vrai moment de rock comme on les aime.
Ce jour-là, on a la chance de pouvoir interviewer Alex Gaskarth, le chanteur, et Jack Barakat, le guitariste. Une vraie belle surprise d’avoir deux membres du groupe — et pas des moindres !
On est super contentes. Comme toujours, on a prévu nos questions sérieuses, mais aussi un jeu complètement barré : Se barbouiller le visage avec de la peinture bleue.
Et là, évidemment, Jack est à fond. Il adore. Il joue le jeu, rigole, s’emballe… Et à la fin de l’interview ? Il nous vole littéralement le pot de peinture et s’en met partout sur le visage ! Fou rire général, complicité immédiate. Un vrai moment de rock comme on les aime.
Un souvenir fun, spontané, précieux
Ce moment reste l’un de mes meilleurs souvenirs d’interview. Non seulement parce qu’on a pu échanger avec deux membres ultra cools, mais aussi parce que l’ambiance était simple, joyeuse, totalement décomplexée.
C’est aussi ça le rock : des rencontres humaines, des rires, des jeux débiles et des photos pleines de peinture.
Ce moment reste l’un de mes meilleurs souvenirs d’interview. Non seulement parce qu’on a pu échanger avec deux membres ultra cools, mais aussi parce que l’ambiance était simple, joyeuse, totalement décomplexée.
C’est aussi ça le rock : des rencontres humaines, des rires, des jeux débiles et des photos pleines de peinture.
Du pop punk et du bleu plein la tête
All Time Low à Paris, c’était la preuve que la musique peut être fun, colorée, vivante — tout en restant sincère. Et moi, je suis repartie avec un souvenir unique, une photo collector (peinture bleue incluse), et cette envie de partager encore et toujours ces instants-là avec vous.
All Time Low à Paris, c’était la preuve que la musique peut être fun, colorée, vivante — tout en restant sincère. Et moi, je suis repartie avec un souvenir unique, une photo collector (peinture bleue incluse), et cette envie de partager encore et toujours ces instants-là avec vous.
